Les contrats pour les injections Covid-19

Liens officiels aux contrats caviardés pour la Suisse

Vaccin Covid-19, sûr et efficace, vraiment ?
Texte écrit par une citoyenne Suisse, Damaris A.

Le 3 août 2022, la confédération suisse publie sur son site officiel les différents contrats signés avec les multinationales pharmaceutiques. Celui de Pfizer, signé le 1er décembre 2020 est particulièrement intéressant. Selon l’OFSP, a publication des contrats s'effectue «en accord avec les prescriptions de la loi fédérale sur le principe de la transparence dans l'administration (LTrans), qui protège les secrets professionnels, d'affaires et de fabrication du côté des fabricants», c’est pourquoi, officiellement, une partie du contrat est noircie.

Parenthèse non négligeable, le 7 janvier 2024, Le Blick.ch diffuse un article dans lequel il cite Adrian Lobsiger, Préposé fédéral à la protection des données et à la transparence (PFPDT). Apparemment, ces caviardages contreviendraient justement à la loi sur la transparence… alors, qui dit vrai ? L’OFSP ou le PFPDT ?

Etant donné que la décision de l’OFSP peut être contestée devant le Tribunal administratif fédéral (TFA), on peut se demander à l’heure actuelle si une hypothèse sans preuve, en l’occurrence que les pharmas refuseraient dans le futur de traiter avec la Suisse, dans le cas où les informations seraient divulguées, suffit à justifier le fait de déroger à une loi ? Alors même que la LTrans est là pour faire jouer la concurrence, l’OFSP justifie d’y déroger car cela pourrait faire baisser les prix. Il y a de quoi perdre la tête et la confiance en nos institutions. Et, sérieusement, les pharmas se priveraient d’un marché aussi gros et juteux que la Suisse ? Quelle personne sensée et tant soi peu instruite peut croire à cet argument, apporté sans preuve ? Je défie ici Pfizer, Moderna et toutes autres entreprises pharmaceutiques de me confirmer par écrit qu’elles renonceraient au marché suisse le cas échéant !

Il serait de bon ton qu’un juge se penche sur cette question et donc de soutenir le conseiller national Remy Wyssmann qui réfléchit sérieusement à interpeler le TFA , d’autant plus que cette question est du plus grand intérêt public…

Mais revenons au contrat Pfizer, dont quelques éléments importants y sont tout de même lisibles. Par exemple, l’alinéa 2.1 (c) (page 8 du document) stipule ceci :

« Notwithstanding the efforts and any dates set forth in the Delivery Schedule, the Parties recognize that the Product is currently in Phase 2b/3 clinical trials and that, despite the efforts of Pfizer in research, and development and manufacturing, the Product may not be successful due to technical, clinical regulatory, manufacturing, shipping, storage, or other challenges or failures. »

Traduit littéralement, en français on comprend que le produit peut ne pas être couronné de succès. Cela signifie que la firme Pfizer ne pouvait pas garantir l’efficacité de leur vaccin et avec ces termes, avertissait le gouvernement suisse qu’il était possible que le produit/vaccin ne soit pas efficace. Ceci afin qu’il ne puisse pas se retourner contre Pfizer le cas échéant…

Dans ce même contrat, à l’alinéa 5.5 (page 19 du document), on peut y lire :

« Purchaser acknowledge that the Product and materials related to the product and their components and constituent materials are being rapidly developed due to the emergency circumstances of the COVID-19 pandemic and will continue to be studied after provision of the Product to Purchaser under this Agreement. Purchaser further acknowledges that the long-term effects and efficacy of the Product are not currently known and that there may be adverse effects of the Product that are not currently known. Further, to the extent applicable, Purchaser acknowledges that the Product shall not be serialized. »

Encore une fois, cela signifie que Pfizer admet dans son propre contrat avec la Suisse, que leur « produit/vaccin » peut avoir des effets à long terme et que l’efficacité du produit n’est pas actuellement connue et qu’il peut y avoir des effets indésirables du produit qui ne sont pas actuellement connus.

Suite à la lecture de ces termes du contrat, il est plus que légitime de se demander comment Monsieur Berset et donc aussi notre gouvernement tout entier, a pu affirmer avec tant de force et de véhémence, que ce vaccin était sûr et efficace, alors même que le contrat signé avec Pfizer stipule expressément la possibilité d’effets secondaires et indésirables et qu’il se peut qu’il ne soit pas efficace ? Sur quoi notre gouvernement s’est-il basé pour tenir ce discours, qui à l’heure actuelle semble être un des plus gros mensonge, sinon le plus gros, que le gouvernement suisse a tenu à son peuple ? Il s’agit en fait, d’un scandale énorme dont M. Berset devrait s’expliquer, voire s’excuser publiquement, s’il ne peut pas prouver l’efficacité et l’innocuité de ce produit. Et toutes les personnes au gouvernement concernées par ce contrat devraient donner leur démission, tant les conséquences sur la population ont été importantes.

Il est également très curieux que les grands médias suisses soient restés silencieux face à cette information capitale et pourtant facilement accessible…

Contactés, ni Pfizer suisse, ni M. Berset, ni son service n’ont pris la peine de répondre à ces questions.

Forts de ce constat, pouvons-nous encore faire confiance à notre gouvernement ? Je vous laisse libre de tirer les conclusions de cet article et des conséquences logiques qui devraient en découler.

– Damaris A.

Contrat "Advanced Purchase Agreement" non-caviardé entre la commission européenne et Pfizer Inc.

Avec des informations sur le prix (entre €13,50 et €17,50 la dose), sur l'indemnité et la responsabilité (aucun pour Pfizer en cas d'effets indésirables)