Coup d'état sanitaire planétaire ?

Après trois ans et quatre mois de crise Covid, le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus a affirmé le vendredi 5 mai 2023 :
« C'est avec beaucoup d'espoir que je déclare que le Covid-19 n'est plus une urgence de santé publique de portée internationale. »

Malgré l'apparence d’un « retour à la normale » la population mondiale est encore sous l’emprise de l’OMS en matière de recommandations en santé publique. Le pass sanitaire, le confinement, la quarantaine, les tests PCR et la vaccination obligatoire peuvent resurgir dans notre quotidien sous prétexte d’une pandémie.

Avec l'apparition d’un traité pandémique et des modifications proposées du Règlement Sanitaire International (RSI), quels sont les enjeux pour les 194 états membres de l’OMS et leur peuple en matière de santé ?

La gestion de la pandémie est-elle en fonction de la science et la santé, ou est-elle basée sur le contrôle et l’argent ? L'OMS a-t-elle violé sa propre charte et sa mission ?

Au vu de l'importance et de l'urgence de la situation concernant l'OMS, et les modifications proposées du RSI, Réinfo Santé Suisse International a organisé une journée d'informations afin d'éclairer le grand public.

Les intervenants

L'expérience de la structure et des systèmes complexes des Nations unies (dont l'Organisation mondiale de la santé est le chef de file en matière de santé mondiale) de la Dr Astrid Stuckelberger lui permet de mettre clairement en évidence les incohérences de l'urgence de santé publique Covid-19. Elle nous détaille :

  • ce qui a été fait contrairement aux normes précédemment établies dans la gestion d'une épidémie
  • ce qui aurait dû être fait pour préserver la santé de la population

Dr Stuckelberger nous partage divers plans de contrôle de l'OMS tels que :

  • la numérisation de la santé
  • l'édition du génome à l'intelligence artificielle

Elle mentionne également les conflits d'intérêt de l'organisation ainsi que l'influence de l'industrie dans la politique de santé publique. Bien au-delà de la politique et de l'argent, elle affirme qu'il s'agit d'une guerre physique et spirituelle contre l'humanité, et que la réponse la plus dangereuse est de rester silencieux.

Astrid Stuckelberger est privat-docent (PD) des facultés de médecine des universités de Genève et de Lausanne (CH). 

Elle y a dirigé des projets de recherche et d'enseignement pendant plus de 25 ans et est titulaire de diplômes universitaires en biologie et en psychologie, ainsi que d'un doctorat en santé publique. En tant que scientifique, experte internationale et conférencière, elle a été sollicitée dans le monde entier et a rédigé plus de 180 articles scientifiques, documents politiques et rapports gouvernementaux, de l'UE et des Nations Unies, ainsi que 12 livres.

Pendant trois décennies, Dr Stuckelberger a travaillé en étroite collaboration avec l'OMS, coécrivant plusieurs ouvrages et rapports sur la santé mentale, la politique de santé, l'innovation et l'éthique de la recherche internationale. Entre 2009 et 2013, Dr Stuckelberger a travaillé pour l'OMS à l'élaboration d'un cours de formation destiné aux États membres afin de mettre en œuvre le Règlement Sanitaire International (RSI) de l'OMS, texte juridiquement contraignant adopté par l'Assemblée générale de l'OMS en 2005 suite au SRAS-Cov1 et entré en vigueur le 15 juin 2007.

Dès le début de la pandémie, elle a un regard critique à l'égard du récit officiel quant au Covid-19 et des interventions de l'OMS, et a constaté qu'ils étaient contraires aux directives du RSI en matière de préparation et gestion des urgences sanitaires et pandémies. Dans ce contexte, elle a écrit plusieurs articles et fait plusieurs interventions dans lesquels elle remettait en question l'évaluation des risques par les États membres et la réponse politique fournie dans les articles scientifiques et médiatiques.

www.astridstuckelberger.com

Robert J. Parsons nous explique que la corruption de l’OMS remonte à l’accord passé entre celle-ci et l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA-IAEA) en mai 1958. Il stipule: « Chaque fois que l’un des parties se propose d’entreprendre un programme ou une activité dans un domaine qui présente ou qui peut présenter un intérêt majeur pour l’autre partie, la première consulte la seconde en vue de régler la question d’un commun accord. »

Cette clause octroie à l’IAEA un pourvoir de veto sur tout ce que pourrait entreprendre l’OMS dans le domaine de la radiation ionisante et la santé.

En avril 1986, suite à la catastrophe de Tchernobyl, l’OMS déclare contre toute évidence, qu’il n’y pas d’effets sanitaires sérieux, prétention souvent confirmée depuis.

Le livre définitif sur la catastrophe (700 pages) et son badigeonnage par l’OMS est Le crime de Tchernobyl: Le goulag nucléaire, de Wladimir Tchertkoff, chez Actes Sud, Genève, 2006.

Le meilleur travail global sur la menace nucléaire et le même badigeonnage (710 pages avec index détaillé) est A Primer in the Art of Deception: The Cult of Nuclearists, Uranium Weapons and Fraudulent Science de Paul Zimmerman. Comme toute tentative de le faire éditer s’est heurté à un refus sec, l’auteur l’a fait éditer lui-même. Le livre est disponible chez lui à Post Office Box 145, Lyndonville, New York 14098. »

Robert James Parsons Jr est analyste géopolitique et journaliste d'enquête basé à Genève.

Au fil des années, il a contribué à de nombreuses publications dont Le Courrier (Genève), La Méduse (Lausanne), La Liberté (Fribourg), The Nation (New York), et Le Monde diplomatique (Paris). Il contribue également à de nombreux blogs et fils de commentaires, surtout chez Moon of Alabama. Pendant vingt années il était accrédité à l'ONU où il suivait le travail et les activités de – entre autres – l'Organisation mondiale de la santé, qu’il a couverte pour Reuters Health News Service.

Dans cette présentation, découvrez l'analyse pertinente du Pr Perrone sur la  « plandémie », cette pandémie planifiée et orchestrée à coup de vagues de faux tests positifs PCR pour maintenir une population dans la peur. Découvrez les conséquences actuelles de ce crime contre l'humanité.

Le Pr Perrone nous parle des preuves que nous possédons aujourd'hui sur :

  • l'efficacité de l'hydroxychloroquine
  • la mort des rongeurs lors des essais cliniques des vaccins
  • la retranscription inversée de l'ARN vers l'ADN
  • la hausse inquiétante de la mortalité dans les pays vaccinés ainsi que le nombre croissant de maladie (myocardite, cancer, infertilité, etc.)
  • le rôle de la justice dans l'acceptation de loi illégales

Le Pr Perrone nous parle de la pénurie de médecin qui sévi et les mesures catastrophiques qui s'en suivent :

  • fermeture des urgences la nuits
  • médecins remplacés par des machines
  • pharmaciens pratiquant la médecine

Il nous partage également certains propos et fonctionnement mis en œuvre au sein de l'OMS et de l'industrie pharmaceutique dont la corruption est un mécanisme récurent.

Le professeur Christian Perronne a été, pendant vingt-six ans, chef du service des maladies infectieuses de l'hôpital de Garches (FR).

Christian Perronne est un ancien professeur d'université, médecin et spécialiste des virus. Il est spécialisé dans les pathologies tropicales et les maladies infectieuses émergentes, et il a été président de la commission spécialisée « Maladies transmissibles » du Haut Conseil de la santé publique jusqu’en 2016. Il se bat depuis plus de 20 ans pour la reconnaissance de la maladie de Lyme chronique. Il a été membre du groupe d'experts européen pour les vaccins (ETAGE) de 2007 à 2016 (9 ans) et vice-président de ce même groupe de 2009 à 2015 (soit 6 ans)

 Il est aussi écrivain de plusieurs livres, dont le livre qui s’intitule « Les 33 questions auxquelles ils n’ont toujours pas répondu ».

La plainte déposée en décembre 2020 par le Conseil national de l'Ordre des médecins en France contre le Pr Christian Perronne, pour des propos jugés controversés sur l'épidémie de Covid-19, a été rejetée en première instance.

Le Dr Geert Vanden Bossche nous parle dans cette vidéo des graves erreurs commises par les organisations de santé publique en général et de l'OMS lors de la pandémie du Covid-19, mais pas uniquement :

  • l'application de la vaccination ARNm, alors que celle-ci était planifiée pour la vaccinologie personnalisée et non pour la vaccination de masse, ni pour la vaccination de maladie infectieuse. 
  • l'efficacité de l'immunité naturelle, la plus apte à éliminer un virus lors d'une pandémie naturelle. 
  • la gestion erronée de la pandémie donnée aux virologues, alors qu'il s'agit d'un phénomène mulitifactoriel qui concerne de multiples disciplines. 
  • le seuil de tolérance extrêmement élevé dont profite ces organisations est inconcevable au vu de l'impacte que leurs décisions ont sur la santé non pas seulement individuelle, mais de toute la société.
  • l'inefficacité du vaccin contre la transmission, et sa protection contre les symptômes qui rend les gens asymptomatiques et donc favorise la transmission.

Ayant travaillé en collaboration avec ces organisations, il nous parle de ses observations sur la corruption qui sévit au sommet de leur pyramide hiérarchique.

Pour le Dr Geert Vanden Bossche, il n'y a qu'une seule urgence internationale, c'est de démanteler l'OMS.

Geert Vanden Bossche DVM PhD a obtenu son diplôme de médecine vétérinaire à l'université de Ghent (BE) et son doctorat Dr.habil. en virologie à Hohenheim (DE).

Dr Vanden Bossche a travaillé pour des entreprises où il a assumé diverses fonctions dans le domaine de la recherche et du développement de vaccins et du développement tardif de vaccins, en tant que responsable principal de programme pour l'équipe Global Health Discovery de la Fondation Bill & Melinda Gates, coordinateur principal du programme Ebola à l'Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination (GAVI) et chef du bureau de développement de vaccins au Centre allemand de recherche sur les infections à Cologne.

Dr Vanden Bossche est aujourd'hui consultant en biotechnologie et en vaccins, tout en menant ses propres recherches sur les vaccins à base de cellules tueuses naturelles. Il s'est fait connaître en mettant en garde contre le danger pour la santé des programmes de vaccination de masse lors d'une pandémie.

Il a dernièrement sorti un livre à ce sujet qui s’appelle « The Inescapable Immune Escape Pandemic » 

www.voiceforscienceandsolidarity.org

L'avocat Suisse nous parle de l'abus de pouvoir exercé par l'OMS et par les autorités nationales de santé publique. Il décrit :

  • leurs violations des droits de l'homme pendant la campagne Covid-19
  • la difficulté pour la démocratie de prévaloir durant une situation d'urgence par manque de freins et de contrepoids
  • l'impossibilité d'arrêter une urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC-USPPI) une fois qu'elle a été déclarée par l'OMS

Il nous avise sur les deux instruments parallèles en cours de négociation (les mises à jour du RSI et le traité pandémique de l'OMS) et nous apprend que l'OMS disposerait d'un pouvoir illimité pour :

  1. Déclarer (et simuler) un PHEIC, qui devient un concept beaucoup plus large !
  2. Exercer un leadership en faveur des intérêts économiques
  3. Utiliser un contrôle total de l'information et donc avoir un monopole sur la santé

Il conclut par un appel urgent à suspendre toutes les négociations jusqu'à ce qu'une enquête indépendante soit menée sur la gestion du Covid-19 et demande instamment la création d'un mécanisme de contrôle indépendant pour garantir la transparence et la responsabilité de l'OMS.

Philipp Kruse (LL.M.) est un avocat spécialisé dans le droit fiscal et le droit constitutionnel, et possède son propre cabinet d'avocats à Zurich (CH).

Depuis 2020, Me Kruse a porté devant les tribunaux plus de 22 procédures au total, concernant tous les types de mandats COVID-19, afin de rétablir la normalité constitutionnelle fondée sur la loi et l'évidence. À la suite d'une des demandes de Me Kruse, la Cour suprême suisse (le tribunal fédéral) a statué qu'un résultat positif au test PCR ne pouvait servir de preuve de maladie. 

Me Kruse prend régulièrement la parole lors de rassemblements en faveur des droits civiques. Il est co-fondateur et co-président du Comité des juristes suisses qui fournit au Parlement et au gouvernement suisses des analyses juridiques relatives à leurs violations permanentes de la constitution suisse.

En novembre 2022, Me Kruse et son équipe ont publié (avec quatre scientifiques) la plainte pénale la plus complète jamais déposée contre une institution suisse : La plainte pénale contre l'agence de surveillance médicale en Suisse, entre autres pour avoir autorisé illégalement les  «vaccins» COVID-19 à base d'ARNm.

Me Kruse travaille actuellement avec une équipe d'avocats et d'experts internationaux sur la question de l'OMS et de ses propositions de modification du règlement sanitaire international, ainsi que sur ses efforts visant à créer un nouveau traité sur les pandémies.

plaintecorona.ch

Un grand merci à nos intervenants pour leurs conférences riches et éclairantes et merci à tous nos participants pour leur présence.

Projection de documentaire en français

TrustWHO? met en lumière la manière dont les lobbies industriels ont infiltré l'OMS et pose la question de savoir si l'on peut faire confiance à l'organisation pour maintenir la population en bonne santé.

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS, en anglais WHO) est l’organisme international indépendant chargé de la santé publique. International, certes, mais indépendant ? Produite par OvalMedia et ARTE, cette enquête fouillée soulève des questions essentielles sur le rôle ambigu joué par le lobby pharmaceutique et pose à l’heure du multilatéralisme un regard féroce sur l’influence sournoise des États et des donateurs privés dans les organisations internationales implantées à Genève.

de Liliane Franck – réalisatrice allemande
Production 2017 © OvalMedia & ARTE / 85 minutes

Vidéos informatives

Conférence de presse à Berne, le mercredi 24 mai 2023 sur le Traité de l’OMS sur les pandémies
Organisée par Ur Kantone et le Mouvement fédératif romand (MFR), avec Me Philipp Kruse, Michelle Cailler (présidente du MFR) et Delphine Héritier de Barros (présidente de Réinfo Santé).

L'extension du pouvoir de l'OMS incompatible avec la souveraineté de la Suisse!
L'AG de l'OMS se réunit cette semaine à Genève. Le traité pandémique (pandemic treaty), ainsi que la modification du Règlement sanitaire international (RSI) sont en train de se concrétiser. Ces derniers prévoient un renforcement massif des pouvoirs de l'OMS.


Lors de la conférence de presse du 24.05.23 à Berne, il a été démontré pourquoi le pacte contractuel menace au plus haut point la souveraineté nationale, la démocratie et la liberté individuelle.


La principale exigence adressée aux politiques et aux scientifiques est la suivante: les négociations avec l'OMS doivent être immédiatement suspendues et une enquête internationale doit être lancée sur la gestion de la pandémie par l'OMS au cours des trois dernières années.


Les conflits d'intérêts de l'OMS, très largement financée par des organisations privées, doivent être clarifiés de toute urgence.

Conférence sur le Traité de l’OMS sur les pandémies organisée par les députés européens
Francesca DONATO, Stasys JAKELIŪNAS, Virginie JORON, Mislav KOLAKUŠIĆ, Sylvia LIMMER, Ivan Vilibor SINČIĆ et Cristian TERHEŞ avec la participation des experts de CHD Europe, Silvia BEHRENDT, Prof David BELL, Me Philipp KRUSE et Wolfgang WODARG.